Concentration d'un gaz

Et ça redevient intéressant quand tu prend en compte l'aspect "statistique" de la chose, qui au moins te permet de prédire des valeurs quand tu greffe ça sur la mécanique chimie quantique.

Tu fais de la thermo-chimie quantique statistique ? Déjà que je n'ai jamais essayé la thermoquantique…

Tu fais de la thermo-chimie quantique statistique ? Déjà que je n'ai jamais essayé la thermoquantique…

Je t'avoue que je n'ai jamais entendu parler de "thermoquantique" tout court et que je croyais que la thermodynamique statistique était la seule manière de faire. Sinon, en sois, c'est pas très compliqué, le tout c'est de calculer ta fonction de partition électronique (la plupart du temps 1¹), translationnelle (facile, ne nécessite même pas de calculs quantiques²), rotationnelle (facile, ne nécessite même pas de calculs quantiques) et vibrationnelle (un peu moins drôle, nécessite de calculer les dérivées de l'énergie par rapport aux coordonnées, en s'arrêtant à l'approximation harmonique … ou pas). Une fois que c'est fait, obtenir l'entropie est par définition évident ($S=-k\,\ln{W}$), et en chipotant un peu, on obtient le reste. Et voilà

La cinétique c'est plus mieux parce que ça fait le café par contre.

Chui' presque certains que le café doit plus à la thermo (équilibres, toussa) qu'à la cinétique. Et puis si on améliorait la cinétique, on aurait plus de raison de pas bosser en attendant le café

OK, vu comme ça, c'est faisable. Ça me rappelle mes cours de physique statistique « et là, on va tenir compte de la mécanique en quantique de manière simpliste, car sinon ça marche pas ». (bon, j'abuse un peu, il y a des trucs vraiment complexes en mécanique statistique quantique – beaucoup, même).