Absolument d'accord avec ça.
C'est ce que j'ai fait pour les matières "classiques" au DNB et je trouve ça pas normal non plus. Bon, j'avais quand même bossé tout du long de l'année. Sauf que j'étais particulièrement intéressé par les maths, la physique et l'histoire-géo. J'étais donc très avantagé par rapport aux autres pour qui c'était la corvée de faire les exos de maths (par exemple). J'ai pas dû fournir beaucoup d'efforts.
Ensuite pour le sport, j'ai jamais été très bon de base. Mais j'ai toujours aimé en faire et j'avais la motivation. Et donc je progressais (un peu). Et je considère que je méritais presque la même note que ceux qui avaient une bonne performance mais qui n'avaient pas d'effort particuliers à faire.
Mais justement, ils y en avaient pas mal dans ce cas-là et ma motivation passait inaperçu. D'ailleurs, ils étaient méprisants avec ceux dans mon cas (on était autant de "bons" que de "nuls"). Ou presque, parce qu'au collège, j'ai eu des excellents profs de sports. Par exemple, en Step, là où les habituels "doués" trouvaient que c'était de la merde ont eu une note moyenne (grâce à leur fierté, il était pas question qu'ils aient une note de merde et ont fait un minimum d'effort), alors que les habituels "nuls", on a eu des notes autour de 14-18/20 (on en a bien profité, forcément – et c'était le but du cours).
En 4e, les profs ont décidés de faire deux groupes : un groupe de "bons", et un autre de moins performants, dont je faisais partie. Du coup, tous ceux qui étaient méprisants nous laissaient tranquille et on pouvait faire du sport sereinement. Et surtout, on était principalement noté par rapport aux efforts qu'on fournissaient.
C'est l'année où j'ai eu mes meilleures notes de sports (lycée compris).
J'en conclue qu'à ce niveau-là, un prof peut faire beaucoup sans trop se casser la tête. Quand je disais que les profs auraient besoin d'une formation à la pédagogie, je pense qu'on pourrait leur montrer ce genre d'"astuces". Plutôt que de faire des sports banals habituels comme les sports co ou de raquette, on pourrait faire du step, du tir à l'arc (sauf que c'est pas facile à mettre en place), du javelot etc…
Pour les matières mentales, comme les maths ou le français, il doit bien y avoir des solutions.
EDIT : C'est vrai que le sport est un peu fourre-tout. Mais du coup, j'ai du mal à imaginer autrement. Faudrait-il un cours de sport co, un cours d'endurance, un cours de raquette, un cours de natation etc… ?
Pour la suite, je réponds à Akion, Dominus Carnuflex, ZeqL et Renault. Comme c'est un peu hors sujet, je le mets en masqué pour ne pas gêner la lecture. A la limite, peut-être devrais-t-on créer un nouveau topique ?
Pour répondre à Akio
Ça ne t'était pas destiné personnellement
J'ai parlé par égocentrisme, autant pour moi.
C'est pas forcément choquant, j'avais passé le concours police scientifique, en chimie c'était le même nombre de candidats mais pour 2 places.
Bah je sais pas, moi j'ai l'impression que c'est pas normal qu'il y ait autant de différence entre l'offre et la demande. Peut-être qu'un jour je changerai d'avis. En attendant, je pense que tout le système français est à refaire.
[…] entre un 3ème et en un 6ème, c'est encore plus flagrant, tu peux les mélanger dans la cours à la récréation, mais les mettre dans la même classe c'est délicat.
Dans le cadre d'une classe, oui c'est pas faisable. Mais je pense aussi qu'on ne devrait pas être toute une journée assis sur une chaise et beaucoup plus travailler à l'extérieur. Pour les maths, il y a des tas de moyens de montrer des formules avec des choses concrètes, qu'on peut manipuler avec les mains. On pourrait d'ailleurs s'inspirer d'Euclide qui a prouvé des tas de choses uniquement par la géométrie.
On pourrait aussi faire bien plus d'activité directement lié avec la nature. Planter des choses, observer des insectes, regarder différentes pierres. Et ensuite faire de la théorie pour expliquer que tout ça n'est pas magique.
[…] c'est déjà une chance que l'accès y soit gratuit chez nous, aux états unis c'est un budget considérable à prendre en compte.
Je pense que les États-Unis devraient changer. Et en France c'est gratuit uniquement pour les boursiers, dont seulement 1 étudiant sur 4 a accès. Les autres paient en moyenne 400 € pour rentrer en Licence (en comptant la sécu). Je ne dis pas que c'est extravagant, mais certains ne peuvent pas se permettre et devraient être pris en compte dans le système de bourse, qui n'est pas du tout au point. C'est ce que l'UNEF et la FAGE tentent chacun plus ou moins bien de régler (vous pensez ce que vous voulez d'eux, je ne cite ici qu'un fait qu'ils affirment eux-mêmes, pas un avis).
[…] on peut toujours changer de voie, […], les solutions ne manquent pas.
Je suis d'accord, mais c'est souvent pas évident à faire. Après, avec de la motivation et en se prenant en charge, je pense ça se passe bien.
[…] mais je doute que l'IPSN soit une source qu'on puisse juger fiable […]
Pas impartiale, c'est certains. Mais je les pense fiables. Peut-être pas pour tous les chiffres qu'ils donnent dans leur vidéo, mais au moins sur les articles de santé que j'ai lu d'eux. C'est pas des infos qui sortent de nulle part et ça m'a l'air plus que sérieux. Ils citent leurs sources et c'est signé par des chercheurs.
Je trouve quand même curieux qu'aucuns médias n'ait parlé de ce vaccin alors qu'un projet de loi obligerait les enfants à le faire à partir de 9 ans.
Pour répondre à Dominus Carnuflex :
Concernant le film dont tu parles avec les enfants qui apprennent à leur rythme et l'exemple de l'enfant qui apprend à lire à 3 ans et l'autre à 12, petite remarque : Comment fait l'enfant de 12 ans dans sa courte vie pour s'instruire ? S'il ne sait pas lire il ne peut pas lire une BD, ni un roman, ni un exercice de maths, ni un livre d'histoire. Il a beau apprendre à lire plus rapidement que d'autre, ça ne lui permettra pas de rattraper 8-10 ans de retard.
Il n'y a pas que par la lecture qu'on peut apprendre des choses. Tu peux très bien apprendre ce que les autres apprendront plus tard, et tu ne perds pas vraiment ton temps tant que tu trouves quelque chose à faire qui t'intéresse. Et pour en revenir à ce que j'ai dit plus tôt, tu peux apprendre une partie des maths sans écrire de formule. Évidemment, ça reste très limité, c'est certains.
Ensuite, quand je parlais de celui de 12 ans, c'est un cas particulier. Lui n'avait pas envie d'apprendre à lire au début. Et à la fin du film, il explique écrire des pièces de théâtre (il a 16 ans à ce moment-là, si je me souviens bien).
Et en général (en tout cas tel que montré dans le docu), les enfants ont rapidement envie d'apprendre à lire. Et c'est logique, tout l'environnement humain est imprégné d'écriture.
Enfin le film concerne des enfants avec qui ça marche plus ou moins, mais combien d'échecs y a-t-il et dont on ne parle pas ?
Pour ceux sur lesquels ça marche, c'est pas plus ou moins. Ils ont vraiment l'air épanouies dans ce film. Je ne les crois pas assez vicieux pour ne montrer que les moments où ils le sont.
Avouer avoir échoué sur l'éducation de son enfant est extrêmement dur à admettre et même à réaliser, alors en plus accepté d'être filmé…
Je suis bien d'accord. C'est d'ailleurs la remarque que ma sœur m'a faite : ils ne montrent pas de vrais échec. Il y a des familles qui ont essayé mais qui ont finit par re-scolariser leurs enfants. Mais le docu n'en a pas interviewé.
Il y a quand même une famille où ils sont à la ville et ça n'a pas l'air facile. Ils sont un peu les uns sur les autres et surtout, ils n'ont personne avec qui partager l'"aventure". Je pense que c'est plutôt un échec.
Ce qui me fait penser que si on n'est pas à la campagne, c'est difficile. Mais il y a beaucoup de monde encore en campagne qui scolarisent leurs enfants et qui pourraient ne pas le faire en se regroupant. Mes parents ont failli le faire avec une autre famille qui habitait à côté et qu'on connaissait depuis longtemps.
Avec tout ce que tu dis sur l'université, j'ai l'impression que tu n'as pas compris le but de l'université : […]
Je suis d'accord avec ta définition du but de l'université.
Mais je l'ai bien compris, j'ai été averti ma famille et c'est même pour ça que j'y suis allé. Mais beaucoup autour de moi, apparemment non. Et une partie des profs ne l'expliquent pas. D'où le fait que je pense qu'il y a un travail d'information à faire et dès le lycée.
[…] est-ce que les gamins voient d'autres personnes ? (à part leur famille)
Tu fais bien de poser la question. Car oui, ils voient d'autres personnes – enfants de leur âge ou pas compris. Sauf celle que j'ai citée plus haut qui vit à la ville et c'est probablement leur plus gros problème.
Dans la 1ere famille présentée par le film, la mère raconte qu'elle voyait encore moins son fils que s'il avait été scolarisé. Ce fils en question a écrit une symphonie à 18 ans et il est très bien parti dans sa lancée (il joue du violon je crois). Cependant, c'est une famille aisée qui vit dans un coin de nature près d'une grande ville. Ils ont donc un peu tout pour eux.
Sinon, concernant les enfants scolarisés chez eux plus épanouis que ceux de l'école, je serais curieux de connaître leur profil psychologique. […] mais je ne suis pas exactement dans la moyenne de la population et mon cas n'est pas représentatif. Qu'en est-il de ces gamins ?
Je ne sais pas trop comment définir un profil psychologique. De plus, ma façon de les voir ne sera probablement pas la même que la tienne et, sans vouloir faire de la publicité, je ne peux que te conseiller de le voir pour répondre à cette question.
Une chose que vous avez l'air de penser (et à raison), je semble remettre totalement en cause l'école. Mais en fait, non. Je remets en cause seulement le fait de mettre systématiquement ses enfants à l'école sans se poser de question.
Que ceux qui le souhaitent et le peuvent le fassent. Les autres peuvent continuer à scolariser leurs enfants, ça ne me pose aucun soucis.
De cette manière, les personnes qui vivent mal le collège (ou même la primaire) n'auraient pas à le vivre. Mais ceux à qui ça convient (à priori une bonne majorité), je ne les empêcherait pas.
D'ailleurs, ça allègerait le nombre d'enfants à l'école. Et sans supprimer de postes d'enseignant (ce que je fais malheureusement confiance à l’État pour tout de suite penser à le faire), on aurait moins d'enfants par classe et je pense un meilleur enseignement, où le cas par cas serait possible.
Et si les parents souhaitent faire un grand voyage avec leurs enfants, ça les aideraient peut-être à se décider. C'est ce qu'à fait ma mère : j'ai passé de Septembre 2001 à environ Octobre 2002 à être ailleurs qu'en France. J'ai pas eu l'impression d'avoir eu du retard en CE2. Bon ma mère était institutrice, donc c'est un peu de la triche
Pour éclairer un peu sur le documentaire, c'est une mère qui cherche un endroit où éduquer ses enfants. Rapidement, elle se demande si elle doit les scolariser ou pas et part donc interviewer des familles qui ne le font pas. Elle rencontre des familles d'un peu partout : États-Unis, France, Allemagne et je ne me souviens plus des autres pays. Vers la fin du film, ils montrent un festival (européen je crois) où beaucoup de familles qui ont fait ce choix se rejoignent et discutent de leurs expériences. Il ne le font donc pas chacun dans leur coin.
Le principe est : on laisse l'enfant apprendre ce qu'il veut apprendre sans lui obliger quoi que ce soit. Mais en le guidant et en lui proposant des activités parce qu'en tant qu'adulte, les parents savent un minimum ce qui doit être su à partir d'un certain âge pour pouvoir un jour faire des études, travailler, voyager… vivre quoi. D'ailleurs, c'est parfois les enfants qui nous apprennent des choses qu'ils ont découvertes eux-mêmes.
Pour répondre à Renault (si je cite pas un paragraphe, c'est que je suis d'accord ou que j'y ai déjà répondu).
Bref, si les gens s'orientent mal, très sincèrement, ils ne peuvent s'en vouloir qu'à eux même.
Jusque-là j'étais d'accord. Mais comme l'a dit gbdivers plus tôt, "les Conseiller(e)s d'Orientation semblent être formé(e)s par ceux qui forment les employé(e)s de pôle emploi". Je n'irais pas jusque-là, surtout que je n'ai pas eu à me plaindre dans mon collège. Mais ils/elles manquent souvent de moyen, de temps etc… pour re-citer gbdivers. Cependant, qu'ils ne prennent pas leur avenir assez au sérieux fait un peu partie de ce que j'ai voulu dire.
D'autant qu'ici ça ne me semble pas forcément très approprié […]. (les paragraphes dans les exams de médecine)
Pourtant, on avait régulièrement un petit paragraphe à rédiger en SVT et de même au BAC de Physique. Je ne parle pas d'une écriture d'invention, mais d'une synthèse. Pour être médecin, ou plus généralement scientifique/chercheur, il faut savoir rédiger un minimum correctement et d'une façon qui tienne la route.
Après, je ne connais pas non plus tous les détails de la médecine. Peut-être que ceux qui n'ont pas cette compétence ne passe pas en 3e année.
Je te parle de niveau de la médecine en France et tu me parles d'un problème de vaccin qui relève plus de l'industrie pharmaceutique et de la pharmacie que de la médecine.
C'est pas faux. Et je n'ai donné que cet exemple parce que je commençais à saturer d'écrire.
Au cours du lycée, j'ai commencé à avoir des brûlures d'estomac. Commençant à devenir inquiétant, je suis allé voir un gastro-entérologue. Il m'a dit qu'une petite malformation qui s'est créé lors de ma croissance en était la cause. Mais rien de grave, mon estomac est en excellent état. Le problème est que je retiens mal les reflues gastriques.
Il me précise ensuite d'éviter le tabac, l'alcool, le café et les épices. Je n'ai jamais touché à une clope, je bois pas de café et rarement de l'alcool – jamais en quantités – et j'aime pas quand c'est trop épicé. Mais alors, d'où ce problème de malformation, purement génétique ?
Ensuite, il m'a prescrit des médicaments au gout bizarre et j'ai pas envie de savoir comment c'est fabriqué. Je lui ai demandé si certains aliments pouvaient m'aider à me soulager. Sa réponse a été vague (je sais plus ce qu'il m'a dit) et ça répondait pas à ma question.
Je me suis renseigné plus tard et plusieurs personnes m'ont dit que c'est à cause du stress (en fait, c'est très connu comme problème). Et effectivement, mes brûlures ont commencé en Seconde et ont eu leur apogée en Terminale. Deux moments où j'ai eu beaucoup de stress et de l'anxiété. Les médicaments, je les ai vite remplacés par de la salade et ça marche très bien. En faisant une petite recherche, j'ai trouvé d'autres aliments pour compléter.
L'été suivant, j'ai fait une chute.
Les urgences de l'hôpital du coin me met une attelle et me dit "Rien de cassé mais le coude s'est démis. Il faudra faire des radios régulières."
Ce que j'ai fait, et à chaque fois, le radiologue m'a dit "ça va se remettre, gardez-le tant que ça fait mal de l'enlever". Le médecin généraliste pareil.
À la rentrée, après 2 mois d'attelle, je vais à l'hôpital de ma ville pour voir un ostéopathe. Et il me dit "2 mois ?! Houla, c'est beaucoup trop, vous auriez dû commencer la ré-éducation 2 semaines au plus tard après la chute". En regardant mon bras qui n'arrivait même plus à se porter, j'avais presque envie de rire d'auto-dérision.
Apparemment, c'est un cas assez spécifique. Mais le radiologue et/ou le médecin généraliste auraient pu me conseiller d'aller voir un ostéopathe le plus tôt possible (j'aurais pu y penser mais je ne me suis pas inquiété, puisqu'ils ne l'étaient pas).
J'ai fait cette ré-éducation et en 1 mois 1/2 j'ai récupéré quasi-complet (ouf). Mais ça aurais pu ne durer que 2 semaines.
Les spécialistes qui m'ont vu n'ont pas bien fait leur boulot à mon sens. Le gastro-entérologue et le radiologue faisaient tous deux partis de la même Polyclinique. Je relativise donc et je pense qu'en règle général, il vaut mieux aller dans un hôpital (public) qu'une polyclinique (privé).
Tout ça, ça reste anodin. Mais il y a des choses faites par la médecine bien plus choquantes.
Des fois, on a un enfant qui possède à la naissance les deux sexes ou un mélange des deux. Bref, sa sexualité n'est pas "normal", il est intersexué. Au cours de sa vie, il a donc une sexualité un peu spéciale qui n'est pas forcément facile à vivre (son sexe peut changer au cours de sa vie et/ou se considérer fille alors que "physiquement" gars et vice-versa).
En ce qui concerne la médecine, plusieurs de mon entourage m'ont parlé de problèmes concernant la mutilation de ces personnes. Parce que leur sexe n'est pas normal, on leur mutilerait dès la naissance et tout au long de la croissance pour les faire correspondre à la case Gars ou Fille.
En ce qui concerne les sourds, on fait pas mal de conneries aussi, comme leur mettre un implant tout bébé, leur détruisant les cils de l'oreille interne.
Ce n'est pas vraiment accepté dans la société qu'une personne soit sourde, on veut absolument lui "réparer" son ouïe. Il suffit de se documenter en lisant des interview/témoignages de sourds.
J'essaie de retrouver mes sources, dont une émission de France Culture à la radio.
Pour les sourds, il existe le festival de Douarnenez, chaque dernière semaine d'Août. C'est un festival de cinéma où il est fait un accueil particulier pour les sourds (interprètes, sensibilisation, films qui en parlent etc…). Une réelle communauté de sourds existe, et s'assume non pas comme des personnes handicapées, mais comme des personnes, simplement différentes.
Et un élève qui a du mal avec une matière, tu ne crois pas que tu vas le tuer avec une telle organisation ?
Non, car je n'obligerais pas à apprendre quelque chose que l'enfant n'a pas envie d'apprendre. De plus, quand je disais ça, ce n'était pas pour l'appliquer à l'école. C'était un des arguments pour ne pas scolariser son enfant si on peut le faire soi-même, avec d'autres familles de préférences.
Ce genre d'éducation, et c'est le fil rouge du film, laisse l'enfant apprendre ce qu'il a envie d'apprendre, et les parents ne font que les guider.
On peut fonctionner comme ça jusqu'au BAC. Plusieurs enfants dans les familles présentés passent leur BAC en se préparant entre 1 an et 6 mois avant l'examen. Et quand ils poursuivent à l'université, ils sont souvent dans les plus brillants.
Tu oublies que les patrons permettent aussi à des tas de gens de vivre par leur salaire et donc de s'acheter de la nourriture auprès du maraicher.
Je ne l'ai pas oublié et je n'ai pas dit le contraire. J'ai bien dit que je ne suis pas contre les PME à taille humaine, donc des PME où se faire licencier se fait par nécessité (e.g. la boite n'a plus les moyens).
Les patrons d'entreprises avec des milliers de salariés, c'est souvent ceux qui licencient sans trop de scrupules et plus par économie que par nécessité.
Mais je me trompes peut-être.
EDIT : Corrections et précisions.