C’est un gros contenu : il y a 30 chapitres et des annexes.
La beta est à peu près finalisée pour environ 1/4 du contenu ( la planète Terre est décrite, mais pas la Lune ni les autres planètes du système solaire ; resent encore les étpoiles, les galaxies) .
A ce rythme, je ne suis pas certain que ce soit terminé dans un an.
La traduction automatisée me semble indispensable face à un tel volume. Il faut bien entendu vérifier et corriger le résultat, en faisant bien attention au vocabulaire (par exemple, faut-il traduire "rocky planet" en "planète rocheuse" ou plutôt "planète tellurique").
Le style de rédaction est particulier : contrairement à l’anglais "technique", où on est habitué à des phrases courtes avec une syntaxe simple, on a ici des constructions élaborées, parfois difficiles à comprendre. Pour ma part, je n’aurais pas écrit cela comme ça. Mais la reformulation prendrait trop de temps, et on cours le risque de déformer le message.
J’ai mis au point des moyens de générer des tableaux sans trop d’effort. Il faut aussi savoir écrire des formules.
Enfin, le texte d’origine est destiné à un public nord-américain, avec parois l’héritage de systèmes de mesure anglosaxons ou des références géographiques qui ne sont pas pertinentes pour un public francophone européen.