Pour les présents contenus, je préconise une approche similaire : faire des essais limités de traduction afin de déterminer les combinaisons les plus efficaces.
C’est prévu.
Cela étend, plus il y a de traducteurs sur un même contenu, plus la charge de travail sera mieux répartie et, sauf exception, il n’est pas nécessaire de tout traduite et publier en une fois. Selon l’avancement (etc.), la publication peut se faire par étape. Si des traducteurs veulent traduire tel chapitre à leur charge sans utiliser d’outils de traduction, c’est tout à fait possible.
Certes, pour avoir fait un test, l’usage d’un traducteur est un gain de temps mais il faut bien prendre le temps de relire le paragraphe traduit pour vérifier si le sens est correct, si la traduction d’une terminologie technique est correcte, etc. Le contrôle « manuel » reste nécessaire, et certains pourraient privilégier le fait d’avoir une maîtrise plus directe sur la traduction elle-même.
En ce qui concerne les illustrations, dans un premier temps, il est envisageable de préserver l’illustration en utilisant, dans la légende, le terme en anglais, entre parenthèses, à côté de son équivalent français. La traduction des illustrations peut se faire dans un second temps.
@Holosmos : Concernant les contenus que j’ai vérifié, rien de bien anormal. La structure de la matière est logique et l’enseignement direct (l’explication a lieu dans fioritures et est agrémentée d’un exemple au besoin).