Perso ce que je trouverais bien, c’est une interface vraiment centrée sur le contenu. (Ça rejoint un peu l’histoire de grandes zones de texte.)
Mine de rien, dans l’interface actuelle d’édition, le contenu, c’est presque un élément mineur dans une toute petite case. Je pense qu’il faudrait vraiment que l’éditeur prenne la majorité de la place. Ça ne me choquerait pas d’avoir une page avec une mise en page un peu différente et comportant un éditeur pleine page (et par exemple les métadonnées dans une colonne latérale). Un peu dans le style du nouvel éditeur de WordPress, à la réflexion, que je trouve très bon dans le côté « centré sur le contenu ».
Concernant l’éditeur lui-même, la coloration du Markdown serait je trouve aussi, vraiment un plus. Le CMS Grav utilise un éditeur (codemirror) qui le colore et c’est très agréable — on est à la limite de WYSIWYG mais tout en restant dans du Markdown, ce dernier ayant l’avantage d’être très lisible même en texte brut, donc il ne faut pas grand chose.
L’éditeur ultime pour Markdown en terme de confort d’écriture, cela dit, c’est un éditeur à la Typora (que j’utilise pour rédiger mes contenus d’ailleurs) qui mêle l’édition Markdown et la prévisualisation. Mais Typora n’est pas open source et développer nous-même un tel éditeur serait certes intéressant mais long et complexe, je ne pense pas qu’on puisse se le permettre à court terme.
Oh et : des raccourcis standard dans l’éditeur. Ce serait extrêmement agréable. Ctrl + B, I, K…
pourquoi la création (et l’édition) demande-t-elle de donner l’intro et la conclusion? n’y aurait-il pas quelque chose de mieux à faire? (proposez)
Concernant ce point, je crois que ça a déjà été mentionné sur un autre sujet dans les limbes du forum mais je reste convaincu que la page de création d’un contenu ne devrait demander qu’un titre en plus du type de contenu. On partirait sur une page très épurée avec juste un champ de texte et un sélecteur de type stylisé avec des explications simples sur les différences.
Et éventuellement, laisser un droit à l’erreur en permettant de changer le type après coup (typiquement, article transformé en billet ou en mini-tutoriel et ce dans tous les sens, car la structure est la même et que le code supporte déjà ça, mais uniquement via l’import d’une nouvelle version du contenu). Mine de rien, psychologiquement, savoir que le choix de type de contenu que l’on fait n’est pas définitif, c’est rassurant. Et sur un processus déjà complexe de rédaction de contenu (car écrire, c’est pas si simple), rassurer, c’est bien.
Je ferai des maquettes de ce que j’ai en tête quand j’aurai un peu de temps pour .