Seltsamerweise habe ich keine Problem, um dieses Wort auszusprechen. Der Trick ist, es in zwei Teile aufzuteilen: „bis-schen”
Mir geben mehr Problemen langer Wörter. Ich finde ein wenig fremd die Tendenz, die nativen Deutschsprechern haben, um die Wörter zusammen heften. Das macht aber die Sprache so unstarr.
Étrangement, je n’ai jamais eu de problème pour prononcer ce mot. L’astuce consiste à le diviser en deux parties : „bis-schen”
Ce qui me pose plus de soucis, ce sont les mots plus longs. Je trouve ça un peu étrange cette tendance qu’ont les germanophones natifs à coller les mots ensemble. Mais bon, c’est ce qui rend la langue si souple.
Note qu’énormément de francophones peinent avec ce son, le /ç/ de Ich, bisschen, … C’est comme le th de l’anglais que les francophones remplacent souvent par un son ’s’ : le ch de Ich est souvent remplacé par le son ’ch’ comme chameau.
En fait ce qui me fait buter c’est d’enchaîner /s/ et /ç/. En général, pas de souci pour prononcer ich, mich, vierklich… Mais bisschen, c’est une autre paire de manches.
Note qu’énormément de francophones peinent avec ce son, le /ç/ de Ich, bisschen, … C’est comme le th de l’anglais que les francophones remplacent souvent par un son ’s’ : le ch de Ich est souvent remplacé par le son ’ch’ comme chameau.
C’est drôle, j’ai remarqué que ce sont surtout les Européens qui prononcent le th anglais comme un s. En fait, les Européens ont tout simplement tendance à prononcer l’anglais « à la française », contrairement aux Québécois qui ont tendance à parler « à l’anglaise ». Par exemple, pour the burnout, les Européens ont tendance à dire « Ze buuurne-août » alors que des Québécois diraient « The bern-hawt ». Ceci dit, c’est peut-être dû au milieu linguistique dans lesquels chacun se trouve.
Non non. C’est pour ça que ce mot pose problème à pas mal de francophones, par le simple fait qu’il contient /ç/. Évidemment, /sç/ ne rend pas la chose plus simple. Ton erreur vient peut-être que tu sembles penser bis-schen, alors que c’est bißchen (donc biss-chen).
Le sch de bisschen ne se prononce pas de la même manière que celui de ich, c’et plutôt celui de schwer
Source:Jérôme Deuchnord
Non non. C’est pour ça que ce mot pose problème à pas mal de francophones, par le simple fait qu’il contient /ç/. Évidemment, /sç/ ne rend pas la chose plus simple. Ton erreur vient peut-être que tu sembles penser bis-schen, alors que c’est bißchen (donc biss-chen).
Oh, danke für deine Korrektur, du hast Rechtrecht, ich dachte, dass „bisschen” aus „bis” und „schen” bestand. Jetzt du mich über mein Fehler gewarnt hast, verstehe ich besser, warum dieses Wort so viele Probleme den Französischsprachigen gibt!
Oh, merci pour la correction, tu as le droit raison, je pensais que "bisschen" était composé de "bis" et de "schen". Maintenant que tu m’as signalé mon erreur, je comprends mieux pourquoi ce mot semble donner tant de problèmes aux francophones !
Connectez-vous pour pouvoir poster un message.
Connexion
Pas encore membre ?
Créez un compte en une minute pour profiter pleinement de toutes les fonctionnalités de Zeste de Savoir. Ici, tout est gratuit et sans publicité.
Créer un compte