Oui, mais j’ai préféré dire binaire, car le langage machine est plus "lisible" en hexa et que je voulais "l’extrême". Et dans la même lignée, coder un fichier texte en binaire serait là aussi long et fastidieux.
(Bien que l’on puisse encoder en faisant juste des impulsions électriques "mécaniquement", ce qui serait encore pire, mais il ne faut pas exagérer non plus et puis vive les crampes :p)
Oui, mais j’ai préféré dire binaire, car le langage machine est plus "lisible" en hexa et que je voulais "l’extrême". Et dans la même lignée, coder un fichier texte en binaire serait là aussi long et fastidieux.
Pour moi il y a un problème de sens en fait à dire programmer en hexadécimale ou programmer en binaire.
L’hexadécimale et le binaire ne sont pas des langages, mais des bases mathématiques, l’équivalent de nos alphabets pour nos langues mais pour les nombres.
Donc dire que tu codes en binaire est équivalent à dire que tu écris ton roman en cyrillique, ça ne donne aucune information sur la grammaire employée et le véritable langage utilisé. En soi, rien n’empêche de coder en C en utilisant un éditeur hexadécimale. C’est encore moins pratique que le C en format texte.
Concernant les plus de 26 devices en format bloc, ça pourra commencer à devenir un cas d’usage réel :
HP Entreprise (HPE) a profité de ce lancement pour dévoiler de son côté le Cloudline CL3150 G4 qui peut accueillir 24 unités de stockage NVMe, soit 76,8 To de capacité. Lors d’une démonstration sous Flexible I/O 2.16 avec un modèle EPYC 7601 (32C), 8x 32 Go de DDR4 @ 2666 MHz et 24 SSD Samsung PM1725a de 1,6 To, sous Ubuntu 17.04 (noyau 4.10), il était possible d’atteindre :
9 178 000 IOPS en lecture
7 111 000 IOPS en écriture
53,3 Go/s de débit
Ce, alors que les chiffres seraient plutôt situés dans les 4,1 à 7,1 millions d’IOPS avec une solution Intel équipée de deux processeurs (chacun étant capable de gérer 12 SSD NVMe via un switch PCIe) selon HPE.
(Bien que l’on puisse encoder en faisant juste des impulsions électriques "mécaniquement", ce qui serait encore pire, mais il ne faut pas exagérer non plus et puis vive les crampes :p)
En français : haut-de-casse et bas-de-casse. La casse, c’est ce tiroir contenant une fonte. Chaque petit compartiment d’une casse contient les caractères identiques, un de ces petit compartiment est un cassetin et ils sont disposés de façon à optimiser le temps nécessaire à composer un texte dans une certaine langue (typiquement en français* le cassetin e est le plus grand et est au centre de la casse, tout en haut du bas-de-casse, près de d, n, i, s, o). La fonte c’est un corps (la taille), un style (genre Helvetica) et une graisse (genre gras).
L’anglais a ici emprunté au français, comme souvent.
* On voit sur ta photo que c’est pas une casse pour le français. Le h qu’on voit sous le cassetin e me fait penser que c’est pour l’allemand ou l’anglais. En français on n’utilise pas assez de h pour le mettre à cet endroit !
(Bien que l’on puisse encoder en faisant juste des impulsions électriques "mécaniquement", ce qui serait encore pire, mais il ne faut pas exagérer non plus et puis vive les crampes :p)
Concernant les plus de 26 devices en format bloc, ça pourra commencer à devenir un cas d’usage réel :
HP Entreprise (HPE) a profité de ce lancement pour dévoiler de son côté le Cloudline CL3150 G4 qui peut accueillir 24 unités de stockage NVMe, soit 76,8 To de capacité. Lors d’une démonstration sous Flexible I/O 2.16 avec un modèle EPYC 7601 (32C), 8x 32 Go de DDR4 @ 2666 MHz et 24 SSD Samsung PM1725a de 1,6 To, sous Ubuntu 17.04 (noyau 4.10), il était possible d’atteindre :
9 178 000 IOPS en lecture
7 111 000 IOPS en écriture
53,3 Go/s de débit
Ce, alors que les chiffres seraient plutôt situés dans les 4,1 à 7,1 millions d’IOPS avec une solution Intel équipée de deux processeurs (chacun étant capable de gérer 12 SSD NVMe via un switch PCIe) selon HPE.
Quoiqu’il n’y a que 24 slots pour des disques, mais y’a un port USB interne! (Qui voudrait coller une clé USB à côté de 80 To de disque… bonne question, par contre)
Qui peut bien avoir besoin de plus de 26 lecteurs ?
Sur un ordinateur bureautique classique c’est assez peu probables, mais en entreprise tu as aussi les montages réseaux qui entrent dans ce cadre, avec éventuellement des lecteurs virtuels ou beaucoup de disques durs et tu peux atteindre le quota (difficilement mais ça n’a rien d’irréaliste).
En pratique ça utilise des surcouches assez transparente pour la redondance et répartition sur tous les disques non ? Ca me semblerait étrange d’avoir 26 lecteurs = 26 disques.
Qui peut bien avoir besoin de plus de 26 lecteurs ?
Sur un ordinateur bureautique classique c’est assez peu probables, mais en entreprise tu as aussi les montages réseaux qui entrent dans ce cadre, avec éventuellement des lecteurs virtuels ou beaucoup de disques durs et tu peux atteindre le quota (difficilement mais ça n’a rien d’irréaliste).
En pratique ça utilise des surcouches assez transparente pour la redondance et répartition sur tous les disques non ? Ca me semblerait étrange d’avoir 26 lecteurs = 26 disques.
Dans le cas d’un SAN, oui, tu as par exemple multipath sous Linux, qui te fournit un point de montage derrière lequel se trouvent des LUNs organisés dieu-sait-comment sur le SAN avec plusieurs chemins d’accès parallèle sur le réseau, mais qui se comporte comme un simple disque dur.
Mais aujourd’hui, en pratique, ce n’est plus forcément le cas.
Typiquement quand tu utilises un système de stockage logiciel (Software-Defined Storage), c’est le soft qui communique avec les disques du serveur, implémente sa stratégie de redondance, distribue les données, etc. Donc au niveau de l’OS, tu as N block devices montés, et le soft prend la main dessus pour faire le reste.
Dans ce cas, l’abstraction pour l’utilisateur n’apparaît que bien plus haut : le soft est lui-même réparti sur des dizaines (centaines, milliers…) de serveurs en réseau, et ce réseau te fournit un simple point de montage (du genre Samba, NFS, fuse… Ou Amazon S3 si tu fais du stockage objet) qui fait passer tout ce merdier pour un seul gigantesque espace de stockage unique.
Oui, mais j’ai préféré dire binaire, car le langage machine est plus "lisible" en hexa et que je voulais "l’extrême". Et dans la même lignée, coder un fichier texte en binaire serait là aussi long et fastidieux.
Pour moi il y a un problème de sens en fait à dire programmer en hexadécimale ou programmer en binaire.
L’hexadécimale et le binaire ne sont pas des langages, mais des bases mathématiques, l’équivalent de nos alphabets pour nos langues mais pour les nombres.
Donc dire que tu codes en binaire est équivalent à dire que tu écris ton roman en cyrillique, ça ne donne aucune information sur la grammaire employée et le véritable langage utilisé. En soi, rien n’empêche de coder en C en utilisant un éditeur hexadécimale. C’est encore moins pratique que le C en format texte.
J’ai bien précisé que même un simple fichier texte pouvait être écrit de la sorte, et un fichier contentant du code C n’est rien d’autre qu’un fichier texte. De plus, je n’ai jamais utilisé le mot programmer pour l’utilisation du binaire ou de l’hexa, j’ai juste parlé d’écriture. (Et la partie, «coder un fichier texte en binaire» est "valide", car on écrit la valeur binaire du caractère ce qui revient à coder le texte.
Qui peut bien avoir besoin de plus de 26 lecteurs ?
Sur un ordinateur bureautique classique c’est assez peu probables, mais en entreprise tu as aussi les montages réseaux qui entrent dans ce cadre, avec éventuellement des lecteurs virtuels ou beaucoup de disques durs et tu peux atteindre le quota (difficilement mais ça n’a rien d’irréaliste).
En pratique ça utilise des surcouches assez transparente pour la redondance et répartition sur tous les disques non ? Ca me semblerait étrange d’avoir 26 lecteurs = 26 disques.
Dans le cas d’un SAN, oui, tu as par exemple multipath sous Linux, qui te fournit un point de montage derrière lequel se trouvent des LUNs organisés dieu-sait-comment sur le SAN avec plusieurs chemins d’accès parallèle sur le réseau, mais qui se comporte comme un simple disque dur.
Mais aujourd’hui, en pratique, ce n’est plus forcément le cas.
Typiquement quand tu utilises un système de stockage logiciel (Software-Defined Storage), c’est le soft qui communique avec les disques du serveur, implémente sa stratégie de redondance, distribue les données, etc. Donc au niveau de l’OS, tu as N block devices montés, et le soft prend la main dessus pour faire le reste.
Dans ce cas, l’abstraction pour l’utilisateur n’apparaît que bien plus haut : le soft est lui-même réparti sur des dizaines (centaines, milliers…) de serveurs en réseau, et ce réseau te fournit un simple point de montage (du genre Samba, NFS, fuse… Ou Amazon S3 si tu fais du stockage objet) qui fait passer tout ce merdier pour un seul gigantesque espace de stockage unique.
Ben dans le cas de Scality, tu as tous tes disques montés sur le serveur. Ils ne sont pas exposés à l’utilisateur final du système en tant que tels, mais ils sont quand même montés pour être utilisés par les noeuds de stockage hébergés par le serveur en question.
Concernant les plus de 26 devices en format bloc, ça pourra commencer à devenir un cas d’usage réel :
HP Entreprise (HPE) a profité de ce lancement pour dévoiler de son côté le Cloudline CL3150 G4 qui peut accueillir 24 unités de stockage NVMe, soit 76,8 To de capacité. Lors d’une démonstration sous Flexible I/O 2.16 avec un modèle EPYC 7601 (32C), 8x 32 Go de DDR4 @ 2666 MHz et 24 SSD Samsung PM1725a de 1,6 To, sous Ubuntu 17.04 (noyau 4.10), il était possible d’atteindre :
9 178 000 IOPS en lecture
7 111 000 IOPS en écriture
53,3 Go/s de débit
Ce, alors que les chiffres seraient plutôt situés dans les 4,1 à 7,1 millions d’IOPS avec une solution Intel équipée de deux processeurs (chacun étant capable de gérer 12 SSD NVMe via un switch PCIe) selon HPE.
Quoiqu’il n’y a que 24 slots pour des disques, mais y’a un port USB interne! (Qui voudrait coller une clé USB à côté de 80 To de disque… bonne question, par contre)
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