Prise de décision et économie comportementale

a marqué ce sujet comme résolu.

Bonjour à tous,

J'ai commencé (il y a 3 heures) la rédaction d'un tutoriel dont l'intitulé est Prise de décision et économie comportementale.

J'aimerais obtenir un maximum de retour sur celui-ci, sur le fond ainsi que sur la forme, afin de proposer en validation un texte de qualité.

Si vous êtes intéressé, cliquez ci-dessous

Merci d'avance pour votre aide

Soµ.L-[T@_K3r] a encore frappé ! :D

Introduction

Ce cours vous propose de voir ces théories de la prise de décision

Pourquoi "ces" ?

Sinon, un point n'est pas très clair : est-il question d'économie ou pas ?


Bon, c'est court, mais ça me permet de démarrer. :P

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Sinon, un point n'est pas très clair : est-il question d'économie ou pas ?

Vayel

Presque. En fait, les théories en question sont essentiellement des théories soit purement mathématiques bâties sur l'introspection, soit des théories provenant de la psychologie cognitive. En soit, ce n'est pas de l'économie. Mais ces théories de la prise de décision permettent de modéliser les décisions économiques, ce qui est très utile pour les microéconomistes.

Techniquement, la théorie de la prise de décision est un mélange entre maths pures, économie, et psychologie, les théories des mathématiciens reculant de plus en plus pour laisser place à des théories psychologiquement plausibles. On range les théories récentes, basées sur des expériences, dans le domaine de l'économie comportementale, ce qui fait que ce cours est bel et bien de l'économie.

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Théories normatives

soit investir 1000 euros, ou ne rien acheter

Plutôt "soit investir 1000 euros, soit ne rien acheter" ?

La théorie de la valeur espérée postule que les sujets calcule

calculent

La valeur espérée est égale à

J'ai plutôt rencontré les sommes avec le i en dessous.

on jette un dés à 80 faces

le parieur gagne 320 euros si le dès

soit il reçoit un euro

Le "soit" me semble de trop.

il reçoit un euro, et repart avec sans avoir à jouer à un quelconque jeu de hasard

On s'inscrit où ? :D

La théorie de la valeur espérée dit que le premier choix sera choisit par le parieur

"choisi", ou "fait".

Le second choix n'a qu'une seule conséquence, qui donne un gain de 1 euro avec une probabilité de 1 : son espérance est de 1 euro

un

Sinon, "conséquence, qui donne un gain de 1 euro" me semble bizarrement formulé. Une conséquence ne donne pas vraiment quelque chose.

En comparaison, le choix d'un jet de dè

soit le dès tombe sur la face qui rapporte 320 euros

sauf si le dès est pipé

l'espérance est supérieure

Je préciserais : "à celle précédente".

certains choix avec une espérance très élevée, voire infinie, ne sont pas choisis par les sujets

"ne sont pas faits" ?

Imaginez le pari suivant, qui fait intervenir une banque, un parieur et un tiers tire une pièce à pile ou face.

La phrase ne se tient pas.

elle donne 1 euro a premier tour, 2 euros a second lancer, 4 au troisième

"au"

un, deux, quatre

Ainsi, voici les gains espérés suivant l'historique de la partie

Pure question de goût personnel, mais je mettrais "Ainsi, les gains espérés suivant l'historique de la partie sont les suivants".

Mais en situation réelles

réelle

les sujets préfèrent recevoir 50 euros sans jouer que de parier en suivant ces règles du jeu

Ce n'est pas très clair. Si j'ai bien compris, le parieur ne donne jamais d'argent, il ne peut qu'en gagner ? Son seul risque est qu'il tombe sur "face" avant que la somme atteigne 50 euros ? Mais les 50 euros, c'est quoi ? Je ne comprends pas "Le parieur parie une somme d'argent initiale de son choix.".

Pour résoudre ce paradoxe, les mathématiciens ont crée

créé

les sujet sur-estiment les probabilités les plus faibles

sujets

Mais d'autres théories existent, la plus populaire d'entre elle

elles

l'utilité espérée, très utilisée en économie pour modéliser le comportement humain

utilité/utilisée, ça fait bof.

Là encore, les sujets cherchent à maximiser l'utilité de leur choix

Cette phrase est fourbe. Elle se comprend très bien, mais on pourrait l'interpréter comme ça : "Là encore, les sujets cherchent à maximiser l'utilité qu'ils ont choisie".

M'enfin bon, la phrase suivante supprime tout doute.

La fonction d'utilité n'a pas une forme bien fixée

"de forme" ?

plusieurs axiomes. Le premier est l'axiome de complétude

Nouveau paragraphe ?

soit deux choix d'utilité A et B, on

Un point plutôt qu'une virgule.

En clair, le sujet peut préférer A à B, B à A

Je chipote, mais le sujet préfère plutôt le choix que l'utilité elle-même. D'ailleurs, tu parles bien des choix après :

ou être indifférent entre ces deux choix

"indifférent à ces"

transitivité, qui donne des contraintes sur les situation

situations

Soit trois choix d'utilité A, B et C : si A ≥ B

Point plutôt que double point.

A ne devient pas inférieur à B

"ne peut devenir" ?

qu'il existe une probabilité que le choix B aie une utilité égale

ait

p × A + (1 - p) × C

$A$, $B$ et $C$ sont des choix, mais sont-ils nécessairement les seuls pour qu'on ait cet axiome ?

de même probabilité avec les même gains

mêmes

alors différences d'utilités espérées entre ces deux choix

les différences

Cette théorie permet de modéliser l'attitude des sujets face au risque :

C'est pas transcendant. En gros, là tu dis que $a$ peut être strictement supérieur à $b$, strictement inférieur ou égal.

et est dit preneur de risque

Guillemets ?

Prenons l'exemple suivant, où le sujet a le choix entre deux situations

alors que les fonctions concaves ont une dérivée décroissante, et les fonctions convexe une dérivée croissante

convexes

Une fonction concave/convexe n'est pas nécessairement dérivable. :P

On pourra remarquer, si je ne dis pas de bêtise, que linéaire = concave + convexe. Ce qui correspond plutôt bien à la théorie.


Peut-être serait-il préférable d'utiliser des guillemets français ?

De plus, je pense que tu devrais entourer tes notations de dollars : $A$, $C_i$, $p_i$, etc.

Sinon, je pense que tu ne dis pas assez que tu vas te concentrer sur des problèmes de gain. Peut-être élargis-tu le sujet dans les extraits suivants, mais quand on lit le titre, on a l'impression qu'il va s'agir de prise de décision en général alors que là, tu ne parles que des cas où il y a des chiffres derrière.

L'axiome de continuité n'est pas très clair.

Je développerais la partie sur l'aversion au risque. Non seulement elle se termine brutalement mais elle est un peu rapide sur des aspects mathématiques pas si connus que ça. Un dessin éclairerait les choses. Tu passes également très rapidement sur les indicateurs. En tant que parodie de matheux, j'aurais aimé en apprendre un peu plus. ^^

En tout cas, merci pour ce tutoriel ! La suite prochainement ! :D

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Pour l'aversion au risque, je préfère ne pas développer, pour une raison simple : les développements mathématiques de l'aversion au risque dans le cadre de l'utilité espérée sont irréalistes ou impossibles à tester.

J'ai reformulé pour l'axiome de continuité.

Quand au fait que cela se concentre sur les problèmes de gains, c'est normal : c'est un tutoriel d'économie. Après, ces théories peuvent se transformer en théories générales de la prise de décision en postulant que le sujet peut très bien attribuer une valeur numérique subjective à des actes non-économiques, valeur qui représente le plaisir ou l'inconfort tiré de tel ou tel choix/conséquence.

Quand au fait que cela se concentre sur les problèmes de gains, c'est normal : c'est un tutoriel d'économie.

Ce n'est pas assez clair (cf : mon premier message). ^^

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Economie comportementale

Observations et expériences

mais les vérifications expérimentales montrent des violations systématiques de grande ampleur dans la quasi-totalité des études

Je chipote, mais "vérifications expérimentales" = "études" non ? Le cas échéant, ta phrase revient à "mais les études montrent des violations systématiques de grande ampleur dans la quasi-totalité des études". Dans le cas contraire, je ne connais pas la distinction.

En clair : la théorie de l'utilité espérée n'est même pas

Pourquoi "même" ?

Violations des axiomes de la théorie de l'utilité espérée

pour l'intelligence, A < B < C < D < E, alors que niveau stabilité émotionnelle, A > B > C > D > E

Mettre ça sous forme de liste aiderait à y voir plus clair :

  • pour l'intelligence : A < B < C < D < E
  • niveau stabilité émotionnelle : A > B > C > D > E

Quand on leur demandait de comparer les sujets dans l'ordre imposé par la transitivité, celle-ci était respectée : on avait A > B, B > C, etc.

Je ne comprends pas. La transitivité n'est respectée que si on considère la stabilité émotionnelle, non ? Pour l'intelligence, on a A < B.

Mais quand on demandait aux sujets de comparer A avec E, c'était A qui était choisit, violant la transitivité.

Là encore, je ne comprends pas. Juste avant, tu dis que la transitivité est respectée avec : A > B, B > C, C > D et D > E. Donc si les candidats choisissent A au lieu de E, c'est bon, non ?

Pour l'axiome d'invariance, je vais prendre un exemple

Tu parles de l'axiome d'indépendance ?

tiré du livre "Predictably Irrational"

Guillemets (français quitte à faire) xor italique.

d'une école de management/économie de s'abonner à un journal d'économie

Pour combien de temps ?

A un premier groupe d'étudiants, il proposa trois choix

À

soit recevoir le journal en version papier pour 125 euros par ans ;

Le "soit" ne me semble pas nécessaire.

"an" (même chose pour les autres puces).

soit recevoir le journal via internet

via ?

0 étudiants pour le premier choix

"étudiant" ?

là où second choix était prioritaire sur le troisième pour le second groupe, c'est exactement l'inverse pour le premier groupe

"le second choix"

Tu emploies un coup l'imparfait, un coup le présent.

violant ainsi l'axiome d'invariabilité

invariance (ou indépendance). Peut-être ce terme est-il correct, mais il me semble préférable de conserver le même tout au long du tutoriel, ou alors de lister les synonymes lors de l'introduction de l'axiome.

gagner 10.000 euros avec certitude (probabilité de 100%)

Je fais faire mon chieur, mais un évènement avec une probabilité de 1 est dit "quasi-certain". De même qu'une probabilité nulle ne caractérise pas l'évènement impossible.

Si on note Z les conséquences où le sujet ne touche pas d'argent

Ca se comprend fort bien, mais Z ne serait-il pas plutôt le cas où le sujet ne touche pas d'argent ?

choix D = 10% de chances de tomber sur le gain du choix B, et 90% de tomber sur Z.

Tu as dit 9% dans la liste précédente.

Mauvaise estimation des probabilités

Rien à dire, si ce n'est que tu pourrais donner un exemple de cas où on estime mal une probabilité. Normand Baillargeon, dans Petit cours d'autodéfense intellectuelle, prend notamment celui de la loterie 6/49 ou des dates de naissance communes pour un ensemble d'une vingtaine de personnes.

L'architecture du choix

Le premier traitement a 33% de sauver les 600 personnes

"33% de chances"

et 66% de ne pas les sauver

"et 66% de n'en sauver aucune"

Au passage, 33 + 66 = 99. :P

Ces deux traitements étaient présentés en présentant

La répétition est peu élégante. :P

en présentant les chiffres données au-dessus

donnés

contre "66% de ne pas sauver 600 personnes, contre 33% de chances de ne pas les sauver"

33% de chances de les sauver

évitaient les options présentées de manière négatives

négative

Au passage, je ne comprends pas l'intérêt d'avoir deux traitements.

De même, les valeurs présentées avant une prise de décision influencent la prise de décision

"influencent cette prise de décision" ?

l'exemple d'une interface pour donner de l'argent à une associations

association

En plus de laisser le montant du don au sujet

"de laisser le choix du montant" ?

l'expérimentateur présente des suggestions de montant de dons

montants

De même, les sujets ont tendance à garder les choix par défauts

défaut

De plus, nous avons tendance à ne pas réviser nos choix, ce qui est appelé le biais de statut-quo.

Y a-t-il une raison pour laquelle tu ne donnes pas de détails (exemples, études…) sur ce paragraphe ?

Ainsi, la satisfaction ultérieure de sujets qui doivent faire un choix entre plusieurs biens est diminuée quand le nombre de biens augmente, et ce peu importe le bien effectivement choisi.

Tu devrais fournir un petit exemple.

"et ce quelque soit le bien effectivement choisi" ?

l'ensemble de ces paramètres, avec les choix par défaut, forme l'architecture du choix

architecture du choix ?

Enfin, nous avons tendance à faire comme les autres : c'est l'effet de mimétisme.

Normand Baillargeon cite judicieusement l'expérience de Asch.

avait tendance à orienter les sujets les choix pris par leurs pairs

Je te laisse corriger.

avait fait augmenter le nombre de personnes inscrites sur les listes électorales dans une petite ville américaine.

Cela a-t-il également influer sur leur vote ?

Ces effets peuvent être utilisé pour influencer

utilisés

"Nudge: Improving Decisions about Health, Wealth, and Happiness"

Guillemets ou italique.

le nombre de choix fournit aux citoyens

fourni ou fournis

Il va de soit que les conséquences éthiques

soi

Théories psychologiques

Rank-dependent expected utility

et sous-estime les évènements avec des gains ou pertes faibles

sous-estiment

A part cette modification, le calcul des utilités espérée

À

espérées

Image crée par Rieger

créée

Théorie des perspectives cumulées

La théorie des perspectives cumulée de Kahnemann

cumulées

les pertes sont sur-évaluées comparé aux gains

"comparées" ? Ou alors "en comparaison des gains".

La valeur de référence sert a simuler

à

Fonction d'édition des valeurs de la théorie des perspectives

Le nom "value" de l'ordonnée n'est pas très explicite.

L'utilité espérée est alors calculée en multipliant la valeur fournie par cette fonction par les probabilités modifiées par

Il y a beaucoup de "par". PLutôt : "L'utilité espérée est alors calculée en multipliant la valeur fournie par cette fonction avec les probabilités modifiées par".

La formule finale est donc

Tu as un problème avec les indices dans la formule.

en posant v(Ci) la valeur subjective de la conséquence Ci, et w(pi) la probabilité pondérée de la probabilité pi

$v(C_i)$, $C_i$, etc. ?


Est-ce volontairement que tu ne fournis pas de sources pour les études mentionnées ? C'est intéressant pour vérifier tes dires mais aussi pour aller plus loin, notamment quand tu ne décris pas les études (concernant les choix par défaut par exemple).

Comptes-tu convertir des guillemets anglais en (guillemets :P) français ?

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Si je ne cites pas d'études dans certains paragraphes, c'est pour éviter d'alourdir le tutoriel plus que raison. Dans ces conditions, je préfère éviter de citer les études dont le principe du protocole expérimental me parait lourd à expliquer, et je ne parle pas des expériences qui n'illustrent pas parfaitement le biais en question. Généralement, le fait de citer les noms des biais en question suffit pour toute que n'importe quelle personne qui sait utiliser google puisse trouver des références par elle-même.


Et pour l'expérience sur la participation électorale (paragraphe sur le biais de mimétisme), pourquoi cela aurait modifié leurs choix de parti, sachant qu'ils ne connaissaient pas celles des voisins ?

Et pour l'expérience sur la participation électorale (paragraphe sur le biais de mimétisme), pourquoi cela aurait modifié leurs choix de parti, sachant qu'ils ne connaissaient pas celles des voisins ?

Mewtow

Autant pour moi.

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Choix intertemporel

ce qui pose problèmes aux personnes impulsives ou peu prévoyantes.

problème

Moi ? Des oraux dans deux semaines ? Ah bon ?

Réduction temporelle des utilités

ne dit-on pas qu'un "tiens" vaut mieux que deux "tu l'auras"

Je ne suis pas certain qu'il soit judicieux d'utiliser un proverbe pour appuyer tes propos : ça n'a que très peu de, voire aucune, valeur argumentative.

Dit autrement, l'utilité d'un bien diminue avec le temps.

Je pense que tu peux formuler ça plus clairement. Ici, "avec le temps" pourrait être interprété dans le mauvais sens : d'après ce qui précède, tu parles d'éloignement dans le futur, pas dans le passé. En outre, bien que tu aies employé le terme "utilité" précédemment, on pourrait confondre ici avec le sens auquel on est habitué. Or il n'y a pas de raison qu'un objet perde de son utilité au cours du temps.

Réduction exponentielle

La majorité des modèles utilisés en économie respecte la consistance temporelle

consistance temporelle

peu importe que nos choix soient fait

faits

Dit autrement, les utilités de chaque conséquences

conséquence

Cela se traduit essentiellement par une diminution exponentielle des utilités avec le temps.

Le "Cela se traduit" me semble inadapté. Peut-être me trompé-je, mais il ne me semble pas que la consistance temporelle ait d'influence sur l'allure de la décroissance.

u(t) = u(t0) × ek (t - t0)

LaTeX ?

Sauf si $k$ est négative, il me semble qu'il y a une erreur de signe dans l'exponentielle (à moins que l'utilité initiale soit négative ?).

Réduction Hyperbolique

La seconde majuscule me parait de trop.

A l'heure actuelle, la théorie en vigueur

À

la théorie en vigueur postule une réduction hyperbolique des utilités avec le temps

Quel est le rapport avec l'inconsistance temporelle ?

qui donne de bons résultats expérimentaux. Ainsi

Je centrerais la formule : $$blabla$$. Cela te permettra d'utiliser sans vergogne \dfrac au lieu de \frac.

Pourtant, le temps entre les deux choix est exactement le même entre les deux situations

Je dirais plutôt que c'est le temps entre les réceptions de l'argent qui sont les mêmes.

En effet, si les utilités avaient diminuées

diminué

Illusion monétaire

et augmente si les prix augmente moins vite

augmentent

C'est la même chose avec les taux d’intérêts

"intérêt" ?

Keynes fût le premier à supposer que non

fut

la majorité des sujets préfèrent la première option

préfère

Le consensus actuels chez les psychologues

actuel

ils n'utilisent les prix corrigés que quand des

"lorsque" me semble mieux s'intégrer à la phrase.

ayant reçu une éducation financière insuffisantes

insuffisante

Ca doit être mon cas : j'ai du mal à suivre cette partie sur l'illusion monétaire. :P

Cela fait dire à certaines économistes

"certains", même si je suis pour combler le gender gap. :P

ils n'est donc pas étonnant que ces modèles

il

ou que les fonctions d'utilités utilisées

utilité

c'est valable pour la logique floue pour

Virgule ?

comme mécanismes mental de raisonnement

mécanisme

De nos jours, on arrive à comparer des résultats des modèles récents

"les résultats" ou "de modèles"

l'évolution des modèles s'est faite en généralisant de plus en plus les modèles

Un peu répétitif.

quais-totalité

Tu y es quasiment.

la science n'est pas que faire des prédictions

"la science, ce n'est pas que faire des prédictions" ?

Il va de soit que déterminer ces mécanismes

soi

autant l'utilité espérée pouvait donner des développements mathématiques simples, avec beaucoup de simplifications

Un peu répétitif.


Pour être honnête, j'ai eu beaucoup de mal à partir de "Illusion monétaire" et presque complètement lâché sur la fin. Je me concentre sur le texte donc peine à prendre du recul par rapport aux propos, n'y connais rien en économie, mais je pense que ça n'explique pas tout. Ce qui ressemble à une conclusion est très dense et, surtout, elle reprend tout. J'ignore un peu comment y remédier ; il faudrait que je relise le tutoriel en entier et d'une traite pour voir ce que ça donne.

Merci pour ce tutoriel ! :)

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