Tout le monde se secoue !
J’ai commencé (mardi 08 septembre 2020 à 09h45) la rédaction d’un tutoriel au doux nom de « Débuter avec Kubernetes » et j’ai pour objectif de proposer en validation un texte aux petits oignons. Je fais donc appel à votre bonté sans limites pour dénicher le moindre pépin, que ce soit à propos du fond ou de la forme. Vous pourrez consulter la bêta à votre guise à l’adresse suivante :
Merci !
Ça fait un moment que j’en parle. Il est maintenant temps de joindre l’action à la parole.
Comme vous le voyez, tout reste à faire. Cependant le but du jeu est de rendre les lecteurs capables :
- De savoir quand Kubernetes est utile et magique, et quand il n’est pas adapté
- D’avoir une compréhension au moins superficielle, mais juste, de son fonctionnement interne
- De conteneuriser correctement une application (c’est-à-dire éviter les horreurs qui valent à Docker sa mauvaise réputation de nos jours)
- De savoir la déployer sur un cluster Kubernetes, en gérant plusieurs trucs très courants :
- Comprendre les notions de base : pod, deployment, service
- La configuration des conteneurs et les valeurs secrètes
- Savoir déployer une application stateful qui repose sur un espace disque persistant
- Configurer un ingress pour réaliser la terminaison TLS, et servir d’API Gateway
- Les bonnes pratiques "imposées" par Kubernetes :
- Répondre à des healthchecks
- Faire des rolling updates
- Les bases de l’observabilité (utiliser Prometheus et Grafana…)
Ainsi que, peut-être, des choses plus "avancées" :
- Se servir de Helm.
- Quelques patterns courants que l’on utilise avec les conteneurs, comme le sidecar, parce que c’est un terme que l’on croise très souvent.
Ce dont je ne parlerai PAS
Comment déployer et administrer soi-même Kubernetes sur ses machines : c’est un sujet avancé et très intéressant en soi, mais en réalité, très, très peu de gens ont réellement besoin de savoir faire ça. Tout l’intérêt du cloud est d’externaliser son infrastructure afin qu’elle soit maintenue par d’autres.
Pour expérimenter, je vais me contenter de diriger les lecteurs vers une offre Kubernetes managée gratuite (celle d’OpenShift), qui est faite pour ça.