On peux trouver des traces des essais et des accidents nucléaires, dans les sols, dans des matrices biologiques, mais je doute qu’on en trouve dans l’atmosphère.
Ou du moins on s’y prendrait un peut tard, les techniques d’analyses des rayonnement ionisants n’ont évoluée que vers 1960, et encore, il a fallu attendre Tchernobyl (1986) pour qu’on fasse vraiment avancer la technique.
Les essais ayant eu lieux de 1945 à 1980 (1962 pour la plus grosse partie), si ils ont eu un impact sur l’atmosphère, il ne peut pas être mesuré, puisque on a pas de données fiables datant d’avant les premiers essais pour comparer.
On peut supposer qu’une partie du bruit de fond observable vient de là, mais ça reste compliqué à prouver, les appareils des années 90 et après n’existaient pas en 1945 et à cette époque on mettait du radium dans les dentifrices pour avoir des dents bien blanches, donc c’était pas franchement la priorité de faire des mesures atmosphériques ^^’.
On peut voire l’impact d’un incident récent par rapport au bruit de fond actuel par contre (le Ruthénium y’à pas si longtemps par exemple)
Pour le vin … quelle énergie dépensée (et aussi nos impôts) pour obtenir une information écrite sur l’étiquette… d’autant que ça permet juste de dire "oui la date de l’étiquette est "compatible" avec la mesure" de non de donner une date plus ou moins précise et impossible de faire la différence entre un vin de 1910 et 1940 au mieux ou pourra dire "avant 1945". Au mieux ça permet d’éviter les fraudes grossières.