Si on avait (1−e2πω)c2 dans le deuxième terme de la première équation (c’est-à-dire, sans le signe «moins» dans l’exponentielle), ce serait effectivement trivial : faire passer le deuxième terme à droite du signe égal, puis diviser par (1−e2πω).
Pour ton système actuel, je vois comme un problème : en faisant passer le deuxième terme de chaque équation à droite du signe égal, en multipliant par −1, puis en utilisant la transitivité de l’égalité, je trouve que :
(1−e−2πω)c2=(e−2πω−1)c2.
(Notons (∗) la relation ci-dessus.)
Maintenant, quitte à supposer que c2 est non-nul, on peut diviser par c2 de part et d’autre de l’équation pour trouver :
1−e−2πω=e−2πω−1,
ce qui est faux en général. En effet, c’est une équation de la forme x=-x, elle ne peut être vraie que pour x=0. Donc, cette égalité n’est vérifiée que pour les valeurs de ω qui annulent les deux quantités de part et d’autre du signe «égal». Si tel est le cas, n’importe quelle valeur de c2 est solution de l’équation (∗) !
L’autre possibilité est c2=0, ce qui implique c1=0, sauf pour les valeurs de ω qui annulent 1−e2πω, au quel cas c1 peut prendre n’importe quelle valeur.
Je peux me tromper quelque part (je ne suis pas le meilleur du monde en calcul), mais j’ai quand même l’impression qu’il y a anguille sous roche.
(Edits : GuilOooo apprend le markdown.)